Au moins une blessée grave parmi les personnels de l’EN : l’intersyndicale de l’éducation condamne les exactions policières et exige une enquête !

Le 23 mars, le degré de violence et de brutalité de la part de certaines forces de police contre des manifestant·es pacifiques a franchi un nouveau cap dans toute la France.


Les organisations CGT Éduc’action FNEC-FP-FO, FSU, SUD éducation, UNSA Éducation condamnent avec force les exactions policières qui ont eu cours lors de la manifestation du 23 mars en particulier à Rouen, à l’appel de l’intersyndicale nationale. Parmi les manifestant.es blessé·es et victimes de ces violences figurent au moins deux agent·es de l’Éducation nationale, dont une collègue AESH qui, en recevant, sur la main, une grenade de désencerclement, a eu le pouce arraché et a perdu connaissance, avant d’être hospitalisée. Et ce alors même qu’elle demandait à de jeunes manifestant·es de reculer et de rejoindre le cortège principal !


Les syndicats CGT Éduc’action, FNEC-FP-FO, FSU, SUD éducation, UNSA Éducation exigent qu’une enquête soit ouverte au plus vite sur ces faits afin qu’ils ne restent pas impunis.

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